Sons et lumières, Shinjuku nous accueille
Premiers pas à Tokyo
Après un voyage relativement paisible, il est 18h et nous voilà à Tokyo. L'aéroport est calme et extrêmement bien organisé, et les formalites sont ainsi expédiées en quelques minutes. Nous grimpons à bord du Narita express, un train rapide, qui nous conduira au coeur de la ville en 1h30 environ. Juste avant cela, la première tentative de parler la langue la langue locale s'est soldée par une franche rigolade, nous confirmant également que l'anglais n'est pas maîtrisé ici...
Direction Shinjuku donc ; de la fenêtre du train, on aperçoit les premiers bâtiments, et les enseignes lumineuses défilent à mesure que nous nous approchons du centre ville. Mimi tente de se reposer tandis que je la réveille constamment m'extasiant devant... tout !
Shinjuku
Shinjuku est connu pour être un des centres d'activités les plus intense de la capitale, comme en témoigne sa station de métro et sa cinquantaine de sorties. Nous en prenons une (pas la bonne, bien entendu) et nous commençons nos errements pour nous rendre à notre logement.
Tout est la : les buildings démesurés, les masques anti-pollution, les panneaux publicitaires géants, les petits personnages kawaii omniprésents, et la sensation éléctrisante d'être dans une ville incroyablement grande et vivante. Nous avons ainsi traversé le quartier de la fête de Shinjuku (le kabuki-cho), déambulant parmi une foule de jeunes japonais sous des néons clignotants de toute part. Mimi et son cher téléphone nous guide et malgré les nombreuses informations en notre possession, nous nous perdons. En effet, les noms et numéros de rues sont quasi introuvables mais nous finissons quand même par arriver à bon port.
Aussitôt arrivés aussitôt repartis. L'excitation prend le pas sur la fatigue et nous replongeons dans Shinjuku, pour un repas dans une echoppe nippo-coréenne, entourés de fêtards hurlant au son de la k-pop diffusée. Une bouteille de sochu (alcool de riz) nous réchauffe et nous retournons arpenter le quartier, entre les ruelles minuscules, témoins d'un Japon ancien, et les immenses artères ou la musique et le bruits sont incessants. Nous dépensons quelques yens dans une salle d'arcade pour tenter, en vain, d'attraper une figurine de Sangoku, avant que la pluie et la fatigue (et la personne raisonnable de notre duo) nous poussent à rentrer.
Premières heures intenses, claque visuelle et sonore, vivement la suite....
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